jeudi 5 décembre 2013

Concours de photographies sur la mobilité internationale des étudiants UQAM


Terre fertile pour génies en herbe. «Le stage d'été UQAMERCOSUD s'est déroulé à Montevideo du 1er juin au 7 juillet 2010. Au menu : un colloque en communications, des cours de sociologie en compagnie d'étudiants locaux, des conférences en anthropologie, agronomie, diplomatie, politique, psychologie et philosophie. Invité distingué, l’ex-ministre Joseph Facal est venu promouvoir les vertus de la démocratie. Nous avons même eu la chance de partager l’enthousiasme du peuple alors que l'Uruguay s'est hissé en demi-finale lors du Mondial. 13 juin 2010 : Jonathan et Alejandro explorent les possibilités d’un ordinateur portable du programme « One Laptop Per Child » dans les rues d’un quartier populaire de Montevideo. Le gouvernement de l’ex-président Tabaré Vázquez a été prompt à implémenter le Plan Ceibal ce qui a fait de l’Uruguay le premier pays au monde à profiter de cette initiative technologique et éducative, avec 480,000 ordinateurs distribués à des enfants et des enseignants sur une population totale de 3 millions d’habitants. Une telle diligence n’est pas étrangère à la réputation de ce petit pays, considéré comme le plus cultivé de l’Amérique Latine et possédant un niveau d’alphabétisation de 98%.» Photo par Félix Faucher, étudiant à la maîtrise en communications à l’UQAM, né à Montréal et ayant grandi à Lima, au Pérou.



Uruguay 2010. «Orgullo la Celeste» où une fierté devient à la fois humaine et céleste… Le stage d’été UQAMercosur auquel j’ai participé à l’été 2010 s’est déroulé en même temps que la Coupe du Monde de Soccer de la FiFa ayant lieu en Afrique du Sud; cet événement suscita un engouement public d’une intensité indescriptible et rarement égalée à Montevideo. Lorsqu’on associe soccer et coupe du monde en Amérique Latine, on pense généralement à des équipes poids lourds, telle que celle de l’Argentine ou du Brésil; mais rarement à celle de l’Uruguay. En fait, on peut même dire que même les Uruguayens ne pouvaient l’imaginer. En effet, ces derniers n’avaient pas beaucoup d’espoir pour leur propre sélection nationale qui fut pourtant déjà championne, soit en 1930 et en 1950. Après une longue disette, cette équipe de 2010, a su raviver la flamme et la fierté d’un pays qui se dit mélancolique. Bluffant les sceptiques, leurs joueurs se sont rendus en demi-finale, euphorisant ainsi les foules massées devant les écrans de télévisions. Après chaque victoire, la ville de Montevideo festoyait intensément sur la fameuse rue « 18 de Julio » et la « Rambla ». Malgré une défaite crève-coeur contre l’Allemagne lors du match pour la 3e place, les joueurs de l’Uruguay furent accueillis en héros à leur retour d’Afrique du Sud. L’autobus des joueurs uruguayens fut acclamé tout au long de sa procession dans les rues de la capitale, dans un pays dès lors enorgueilli par les performances de « la Celeste », petit sobriquet affectif de l’équipe nationale uruguayenne, comme le montre cette photo prise le 13 juillet 2010, durant la parade des joueurs. Pendant ces matchs, il n’y avait plus de riches ou de pauvres, ni de « blanco » ou de « negro », d’hommes ou de femmes, de jeunes ou de vieux; il n’y avait qu’une foule, oubliant ses tracas quotidiens, qui frémissait à l’unisson à chaque soubresaut du ballon. Photo: Nathalie Demers, finissante en Design de l’Environnement (UQAM).



Uruguay 2010. « À cheval sur les traditions dans la nature uruguayenne ». J’ai participé, à l’été 2010, au stage d’été UQAMercosur en Uruguay, pays de plaines et d’étendues vierges, drapées de leur verdure et peuplées de vaches et de moutons qui semblent heureux de leur style vie loin des granges, que leur ont offert leurs « Gauchos ». Afin d’avoir une expérience uruguayenne complète, nous avons voulu en savoir plus sur ceux-ci, devenus aujourd’hui les valeureux éleveurs de bétail, mais autrefois désignés comme les traditionnels cow-boys d’Amérique du Sud. Accoutré du costume typique de sa fonction, béret, chemise à carreaux et moustache inclus, nous le rencontrons à « l’estancia » où nous séjournons. Accompagnés de trois collègues étudiants, nous sommes installés pour quelques jours dans ce paradis des auberges traditionnelles uruguayennes, où c’est lui, le gaucho de la place, entre deux rassemblements de moutons, qui guidera nos balades à travers les champs, chacun sur notre monture, à contempler les splendeurs des différents visages de la nature de ce petit pays. Assis sur le dos de nos chevaux, ultra sympathiques, mais un peu baquets, nous arpentons les vallons, traversons des plantations d’eucalyptus, des bassins, des forêts de palmiers et même des boisés au tapis de feuilles jaunies (c’est l’automne comme on le connaît au Québec). En si peu qu’une heure et demie de randonnée, nous avions l’impression d’avoir traversé des écosystèmes qui normalement seraient très éloignés les uns des autres étant donné leurs caractéristiques contrastantes. Durant ce séjour de ressourcement entre deux cours à Montevideo, nous avons pu vivre les traditions uruguayennes à travers sa nature, ses bons plats du terroir et ses rencontres humaines à nous ouvrir les yeux, les papilles et le coeur. Photo: Jean-Pierre Mot, étudiant à la maîtrise en communication.





Stage en Uruguay été 2012. C’est dans le cadre d’une maîtrise en communication et en droit à l’été 2012 que nous avons effectué un stage à l’étranger. Dans une perspective d’échange interculturelle, nous avons participé à plusieurs colloques à Montevideo, en Uruguay, dont ALAIC était notre principal intérêt. En plus d’en apprendre sur la langue espagnole, le contexte historique et juridique, le système d’éducation et la culture uruguayenne, nous avons eu l’opportunité de prendre une fin de semaine dans le département de Maldonado et Rocha, pour rencontrer des spécialistes en communication, puis aussi, découvrir les différents paysages de ce pays (d’où la prise de la photo). Notre expérience fut mémorable, car en plus d’acquérir une foule de connaissances, nous avons profité de nos différentes perspectives d’études pour avancer nos propres recherches de manières interdisciplinaires.


Cette photo a été prise en 2012, lors d'un stage avec l'UQAM dirigé par Carmen Rico de Sotelo. J'étudie en communication interculturelle. Le stage a eu lieu majoritairement dans la capitale de l'Uruguay, à Montevideo. Toutefois, nous avions pris trois jours pour rendre visite à une institution de télécommunication à Punta del este (lieu de la photo) où nous avons pu visiter les lieux et être informés sur les enjeux de la diversité culturelle qui sont particuliers à cette ville.


Annie Gingras






Source: http://www.international.uqam.ca/Pages/sri_photo.aspx

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